La carte d’auditeur libre de l’École du Louvre* permet un accès gratuit et illimité pendant la durée des cours aux collections permanentes et aux expositions temporaires :
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La carte d'auditeur libre du cours d'initiation à l'histoire mondiale de l'architecture donne de plus un accès gratuit et illimité pendant la durée des cours aux collections permanentes de la Cité de l'architecture et du patrimoine.
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Organisés ponctuellement durant l’année, les cycles découverte proposent des sujets thématiques d’archéologie et d’histoire de l’art en rapport avec l’actualité des musées et de la recherche.
Chaque cycle de cinq séances comprend des cours magistraux dispensés par des professionnels du patrimoine.
La programmation des cycles découverte est proposée selon deux modalités au choix avec des calendriers distincts (voir les agendas de cours) :
- l'enseignement en amphithéâtre (en présentiel) ;
- l'enseignement en ligne (en distanciel), en replay sur le campus numérique de l'École.
L’attention des auditeurs est appelée sur le fait qu'une inscription à un cours en amphithéâtre ne donne pas accès à un cours en ligne et inversement.
Campus numérique de l'École du Louvre : https://lms.ecoledulouvre.fr/
Exceptionnellement, les inscriptions par correspondance ne pourront pas être prises en compte au-delà du 01/07/2024, cachet de La Poste faisant foi. Passé ce délai, nous vous invitons à vous inscrire via internet.
Les enseignements sont donnés en langue française.
En cas de nécessité, des modifications de calendrier et d'intervenants peuvent survenir. En cas de dégradation de la situation sanitaire ou sociale, la continuité pédagogique des cours sera assurée via le campus numérique de l'Ecole du Louvre.
Pour s’inscrire au titre de la formation continue (prise en charge des frais d’inscription par votre employeur) écrire à : formation.continue[a]ecoledulouvre.fr.
Dans la Venise flamboyante de la Renaissance, Titien (1488-1576) s’impose comme le maître absolu de la peinture pendant plus d’un demi-siècle. Révolutionnant l’art du portrait, du tableau religieux ou des scènes mythologiques, aussi à l’aise dans les toiles intimistes que dans les immenses déflagrations de couleurs, il occupe, par son inventivité, sa productivité et sa longévité, une place à part dans la peinture occidentale, inspirant Velázquez autant que Rembrandt, Delacroix ou Manet. Peintre de l’énergie vitale et de la saveur du monde, autant que de ses drames, de sa violence et de son injustice, il se réinvente sans cesse pendant les trois quarts de siècle de sa carrière. Il meurt le pinceau à la main, à l’orée de ses 90 ans, laissant un exceptionnel héritage de formes et de couleurs.
Cours en replay du 7 février au 9 mars 2025 inclus
Dans la Venise flamboyante de la Renaissance, Titien (1488-1576) s’impose comme le maître absolu de la peinture pendant plus d’un demi-siècle. Révolutionnant l’art du portrait, du tableau religieux ou des scènes mythologiques, aussi à l’aise dans les toiles intimistes que dans les immenses déflagrations de couleurs, il occupe, par son inventivité, sa productivité et sa longévité, une place à part dans la peinture occidentale, inspirant Velázquez autant que Rembrandt, Delacroix ou Manet. Peintre de l’énergie vitale et de la saveur du monde, autant que de ses drames, de sa violence et de son injustice, il se réinvente sans cesse pendant les trois quarts de siècle de sa carrière. Il meurt le pinceau à la main, à l’orée de ses 90 ans, laissant un exceptionnel héritage de formes et de couleurs.
Cours en replay du 4 avril au 4 mai 2025 inclus
Dans la Venise flamboyante de la Renaissance, Titien (1488-1576) s’impose comme le maître absolu de la peinture pendant plus d’un demi-siècle. Révolutionnant l’art du portrait, du tableau religieux ou des scènes mythologiques, aussi à l’aise dans les toiles intimistes que dans les immenses déflagrations de couleurs, il occupe, par son inventivité, sa productivité et sa longévité, une place à part dans la peinture occidentale, inspirant Velázquez autant que Rembrandt, Delacroix ou Manet. Peintre de l’énergie vitale et de la saveur du monde, autant que de ses drames, de sa violence et de son injustice, il se réinvente sans cesse pendant les trois quarts de siècle de sa carrière. Il meurt le pinceau à la main, à l’orée de ses 90 ans, laissant un exceptionnel héritage de formes et de couleurs.
De Cimabue, on ignore presque tout, jusqu’à la signification du surnom « Cimabue » que ses contemporains ont donné au peintre Cenni di Pepo (c. 1240 – 1302). Pourtant dès l’aube du XIVe siècle, Dante se fait l’écho de la renommée de celui qui fut le peintre italien le plus important de la fin du XIIIe siècle, et fut célébré comme le grand rénovateur de la peinture italienne. A l’occasion de l’exposition organisée du 22 janvier au 12 mai 2025 au musée du Louvre autour de la Maestà et de la Dérision du Christ récemment restaurées, ce cycle propose de découvrir les grandes créations du maître florentin et leur caractère éminemment novateur. Cimabue fut l’un des premiers peintres à chercher à représenter le monde, les objets et les corps tels qu’ils existent. Avec lui, les conventions de représentation héritées de l’art oriental, et notamment des icônes, si prisées jusqu’alors, cèdent la place à une peinture inventive, cherchant à suggérer un espace tridimensionnel, des corps en volumes, des gestes naturels et des émotions humaines, ouvrant la voie aux grandes inventions de Giotto ou de Duccio au XIVe siècle.
Cours en replay du 7 février au 9 mars 2025 inclus
De Cimabue, on ignore presque tout, jusqu’à la signification du surnom « Cimabue » que ses contemporains ont donné au peintre Cenni di Pepo (c. 1240 – 1302). Pourtant dès l’aube du XIVe siècle, Dante se fait l’écho de la renommée de celui qui fut le peintre italien le plus important de la fin du XIIIe siècle, et fut célébré comme le grand rénovateur de la peinture italienne. A l’occasion de l’exposition organisée du 22 janvier au 12 mai 2025 au musée du Louvre autour de la Maestà et de la Dérision du Christ récemment restaurées, ce cycle propose de découvrir les grandes créations du maître florentin et leur caractère éminemment novateur. Cimabue fut l’un des premiers peintres à chercher à représenter le monde, les objets et les corps tels qu’ils existent. Avec lui, les conventions de représentation héritées de l’art oriental, et notamment des icônes, si prisées jusqu’alors, cèdent la place à une peinture inventive, cherchant à suggérer un espace tridimensionnel, des corps en volumes, des gestes naturels et des émotions humaines, ouvrant la voie aux grandes inventions de Giotto ou de Duccio au XIVe siècle.
Cours en replay du 4 avril au 4 mai 2025
De Cimabue, on ignore presque tout, jusqu’à la signification du surnom « Cimabue » que ses contemporains ont donné au peintre Cenni di Pepo (c. 1240 – 1302). Pourtant dès l’aube du XIVe siècle, Dante se fait l’écho de la renommée de celui qui fut le peintre italien le plus important de la fin du XIIIe siècle, et fut célébré comme le grand rénovateur de la peinture italienne. A l’occasion de l’exposition organisée du 22 janvier au 12 mai 2025 au musée du Louvre autour de la Maestà et de la Dérision du Christ récemment restaurées, ce cycle propose de découvrir les grandes créations du maître florentin et leur caractère éminemment novateur. Cimabue fut l’un des premiers peintres à chercher à représenter le monde, les objets et les corps tels qu’ils existent. Avec lui, les conventions de représentation héritées de l’art oriental, et notamment des icônes, si prisées jusqu’alors, cèdent la place à une peinture inventive, cherchant à suggérer un espace tridimensionnel, des corps en volumes, des gestes naturels et des émotions humaines, ouvrant la voie aux grandes inventions de Giotto ou de Duccio au XIVe siècle.
Le terme « enluminer » vient du latin « illuminare » qui signifie « rendre lumineux », « éclairer ». L’enluminure a donc quelque chose à voir avec la lumière et la clarté. Si l’on peut entendre cette définition dans un sens esthétique avec l’application de l’or qui offre l’illusion de rayons étincelants sur la page, on peut également l’interpréter dans un sens pratique ou au contraire intellectuel, voire spirituel. Sans le travail des enlumineurs, l’homme du Moyen Âge qui ouvre un manuscrit serait perdu. Le décor qui anime le codex de page en page structure le texte, en hiérarchise le contenu. L’image qui illustre un récit ou la pensée d’un auteur aide à en comprendre le sens ou les sens. Aussi l’enluminure est-elle intrinsèquement liée à son support, au texte et au contexte qui l’a vu naître.
À travers l’étude de quatre grands chefs-d’œuvre enluminés, nous proposons de découvrir l’univers des manuscrits médiévaux. Nous analyserons les circonstances de leur commande et les interactions à l’œuvre entre l’image, le livre, la page, le texte et l’usage.
Cours en replay du 4 avril au 4 mai 2025
Le terme « enluminer » vient du latin « illuminare » qui signifie « rendre lumineux », « éclairer ». L’enluminure a donc quelque chose à voir avec la lumière et la clarté. Si l’on peut entendre cette définition dans un sens esthétique avec l’application de l’or qui offre l’illusion de rayons étincelants sur la page, on peut également l’interpréter dans un sens pratique ou au contraire intellectuel, voire spirituel. Sans le travail des enlumineurs, l’homme du Moyen Âge qui ouvre un manuscrit serait perdu. Le décor qui anime le codex de page en page structure le texte, en hiérarchise le contenu. L’image qui illustre un récit ou la pensée d’un auteur aide à en comprendre le sens ou les sens. Aussi l’enluminure est-elle intrinsèquement liée à son support, au texte et au contexte qui l’a vu naître.
À travers l’étude de quatre grands chefs-d’œuvre enluminés, nous proposons de découvrir l’univers des manuscrits médiévaux. Nous analyserons les circonstances de leur commande et les interactions à l’œuvre entre l’image, le livre, la page, le texte et l’usage.