La carte d’auditeur de l’École du Louvre permet un accès gratuit et illimité pendant la durée des cours aux collections permanentes et aux expositions temporaires* :
Elle offre un tarif réduit :
* Sauf auditeurs des cours en régions et des cours en replay.
https://lms.ecoledulouvre.fr/
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Organisés ponctuellement durant l’année, les cycles découverte proposent des sujets thématiques d’archéologie et d’histoire de l’art en rapport avec l’actualité des musées et de la recherche.
Chaque cycle de cinq séances comprend des cours magistraux dispensés par des professionnels du patrimoine.
La programmation 2022-2023 des cycles découverte est proposée selon deux modalités au choix avec des calendriers distincts (voir les agendas de cours) :
- l'enseignement en amphithéâtre (en présentiel), avec obtention de la carte d'auditeur de l'École ;
- l'enseignement en ligne (en distanciel), en replay sur le campus numérique de l'École (en distanciel), sans carte d'auditeur.
L’attention des auditeurs est appelée sur le fait qu'une inscription à un cours en amphithéâtre ne donne pas accès à un cours en ligne et inversement.
Campus numérique de l'École du Louvre : https://lms.ecoledulouvre.fr/
Les enseignements sont donnés en langue française.
En cas de nécessité, des modifications de calendrier et d'intervenants peuvent survenir.
Pour s’inscrire au titre de la formation continue (prise en charge des frais d’inscription par votre employeur) écrire à : formation.continue[a]ecoledulouvre.fr.
Des places sont disponibles par correspondance, veuillez trouver ci-dessous les documents à télécharger et à envoyer :
Les 5 séances du cycle sont mises à disposition en replay sur le campus numérique de l'École https://lms.ecoledulouvre.fr durant les vacances d'hiver (zones A, B et C), du samedi 4 février au dimanche 12 mars 2023.
Avec Léonard de Vinci et Michel Ange, Raphaël incarne le plein accomplissement de la Renaissance en Italie.
Né en 1483 à Urbino, d’un père artiste, Raphaël voyage très jeune en Italie et observe les plus grands maîtres de son temps dont il assimile peu à peu le style. A 25 ans, son talent est reconnu et il est appelé à Rome par le pape pour participer au décor de nouveaux appartements au Vatican. Il en obtient rapidement la direction et s’ouvre alors une carrière ascensionnelle et fulgurante. Il conçoit un nombre remarquable de grandes décorations à fresque, de retables, de tableaux de dévotion et de portraits, assumant également la fonction d’architecte et de conservateur des antiques de la Ville éternelle. Mais Raphaël meurt soudainement en 1520, à l’âge de 37 ans. L’artiste devient une légende, « le divin Raphaël » dont les œuvres ne cessent d’être admirées et copiées. Il devient le grand maître du classicisme, une étiquette qui a pu banaliser et uniformiser un œuvre pourtant protéiforme, aux styles très variés et plein d’inventions inédites.
Cours 1 : D’Urbino à Florence, l’éclosion du génie.
Cours 2 : Le maître du Vatican.
Cours 3 : Le peintre des Madones.
Cours 4 : Un artiste universel. Architecte, décorateur et conservateur à Rome.
Cours 5 : Portraits publics, portraits privés.
Les 5 séances du cycle sont mises à disposition en replay sur le campus numérique de l'École https://lms.ecoledulouvre.fr durant les vacances de printemps (zones A, B et C), du samedi 8 avril au dimanche 7 mai 2023.
Avec Léonard de Vinci et Michel Ange, Raphaël incarne le plein accomplissement de la Renaissance en Italie.
Né en 1483 à Urbino, d’un père artiste, Raphaël voyage très jeune en Italie et observe les plus grands maîtres de son temps dont il assimile peu à peu le style. A 25 ans, son talent est reconnu et il est appelé à Rome par le pape pour participer au décor de nouveaux appartements au Vatican. Il en obtient rapidement la direction et s’ouvre alors une carrière ascensionnelle et fulgurante. Il conçoit un nombre remarquable de grandes décorations à fresque, de retables, de tableaux de dévotion et de portraits, assumant également la fonction d’architecte et de conservateur des antiques de la Ville éternelle. Mais Raphaël meurt soudainement en 1520, à l’âge de 37 ans. L’artiste devient une légende, « le divin Raphaël » dont les œuvres ne cessent d’être admirées et copiées. Il devient le grand maître du classicisme, une étiquette qui a pu banaliser et uniformiser un œuvre pourtant protéiforme, aux styles très variés et plein d’inventions inédites.
Cours 1 : D’Urbino à Florence, l’éclosion du génie.
Cours 2 : Le maître du Vatican.
Cours 3 : Le peintre des Madones.
Cours 4 : Un artiste universel. Architecte, décorateur et conservateur à Rome.
Cours 5 : Portraits publics, portraits privés.
Si les noms de Christophe Colomb ou de Vasco de Gama, ainsi que leurs « Grandes Découvertes » au tournant des années 1500 incarnent pour beaucoup l’idée de voyage à la Renaissance, ils n’illustrent en réalité qu’une partie de ce que recouvre les pérégrinations et mobilités du temps. Le voyageur n’est pas seulement explorateur, il est aussi marchand, diplomate, pèlerin, soldat ou encore artiste.
Les échanges engendrés par ces périples sur les routes d’Europe, d’Orient et du Nouveau Monde, qu’ils soient humains, culturels ou économiques, aux conséquences bénéfiques mais aussi parfois néfastes, modifient de bien des manières les sociétés des XVe et XVIe siècles. Ce phénomène s’observe notamment dans la production artistique de l’époque, qui constitue une source de première main pour étudier la circulation des idées, du goût et des techniques. Empruntées à la peinture, la sculpture, l’architecture et les arts décoratifs, mais aussi à la littérature contemporaine (récits de voyage, ouvrages scientifiques, etc.), les œuvres étudiées mettront en évidence les influences réciproques qui animent ce monde de la Renaissance, aux contours sans cesse renouvelés. En filigrane, elles illustreront le récit complexe et fascinant des premiers empires coloniaux et permettront de s’inscrire dans les pas de ces voyageurs, à la rencontre de l’Autre et de l’inconnu.
Les 5 séances du cycle sont mises à disposition en replay sur le campus numérique de l'École https://lms.ecoledulouvre.fr durant les vacances d'hiver (zones A, B et C), du samedi 4 février au dimanche 12 mars 2023.
Si les noms de Christophe Colomb ou de Vasco de Gama, ainsi que leurs « Grandes Découvertes » au tournant des années 1500 incarnent pour beaucoup l’idée de voyage à la Renaissance, ils n’illustrent en réalité qu’une partie de ce que recouvre les pérégrinations et mobilités du temps. Le voyageur n’est pas seulement explorateur, il est aussi marchand, diplomate, pèlerin, soldat ou encore artiste.
Les échanges engendrés par ces périples sur les routes d’Europe, d’Orient et du Nouveau Monde, qu’ils soient humains, culturels ou économiques, aux conséquences bénéfiques mais aussi parfois néfastes, modifient de bien des manières les sociétés des XVe et XVIe siècles. Ce phénomène s’observe notamment dans la production artistique de l’époque, qui constitue une source de première main pour étudier la circulation des idées, du goût et des techniques. Empruntées à la peinture, la sculpture, l’architecture et les arts décoratifs, mais aussi à la littérature contemporaine (récits de voyage, ouvrages scientifiques, etc.), les œuvres étudiées mettront en évidence les influences réciproques qui animent ce monde de la Renaissance, aux contours sans cesse renouvelés. En filigrane, elles illustreront le récit complexe et fascinant des premiers empires coloniaux et permettront de s’inscrire dans les pas de ces voyageurs, à la rencontre de l’Autre et de l’inconnu.
Cours 1 : Voyageurs de la Renaissance. Profils et motivations.
Cours 2 : Affronter l’inconnu : navires, cartes et instruments de mesure.
Cours 3 : Rencontres sur les Routes d’Orient.
Cours 4 : L’Europe et les Amériques à la Renaissance.
Cours 5 : Du mythe au réel : s’approprier ces nouveaux mondes.
Les 5 séances du cycle sont mises à disposition en replay sur le campus numérique de l'École https://lms.ecoledulouvre.fr durant les vacances de printemps (zones A, B et C), du samedi 8 avril au dimanche 7 mai 2023.
Si les noms de Christophe Colomb ou de Vasco de Gama, ainsi que leurs « Grandes Découvertes » au tournant des années 1500 incarnent pour beaucoup l’idée de voyage à la Renaissance, ils n’illustrent en réalité qu’une partie de ce que recouvre les pérégrinations et mobilités du temps. Le voyageur n’est pas seulement explorateur, il est aussi marchand, diplomate, pèlerin, soldat ou encore artiste.
Les échanges engendrés par ces périples sur les routes d’Europe, d’Orient et du Nouveau Monde, qu’ils soient humains, culturels ou économiques, aux conséquences bénéfiques mais aussi parfois néfastes, modifient de bien des manières les sociétés des XVe et XVIe siècles. Ce phénomène s’observe notamment dans la production artistique de l’époque, qui constitue une source de première main pour étudier la circulation des idées, du goût et des techniques. Empruntées à la peinture, la sculpture, l’architecture et les arts décoratifs, mais aussi à la littérature contemporaine (récits de voyage, ouvrages scientifiques, etc.), les œuvres étudiées mettront en évidence les influences réciproques qui animent ce monde de la Renaissance, aux contours sans cesse renouvelés. En filigrane, elles illustreront le récit complexe et fascinant des premiers empires coloniaux et permettront de s’inscrire dans les pas de ces voyageurs, à la rencontre de l’Autre et de l’inconnu.
Cours 1 : Voyageurs de la Renaissance. Profils et motivations.
Cours 2 : Affronter l’inconnu : navires, cartes et instruments de mesure.
Cours 3 : Rencontres sur les Routes d’Orient.
Cours 4 : L’Europe et les Amériques à la Renaissance.
Cours 5 : Du mythe au réel : s’approprier ces nouveaux mondes.
À l’instar d’Albrecht Dürer, Hans Holbein le Jeune incarne ce nouveau type d’artiste qui, au tournant des XVe et XVIe siècles, puise dans la tradition médiévale et la renouvelle sous l’impulsion des idées humanistes. Avec une remarquable aisance, il travaille dans le domaine de la peinture de chevalet mais aussi de la peinture murale et décorative, et fournit des dessins préparatoires à des orfèvres, des armuriers ainsi que des verriers. Ses portraits continuent aujourd’hui de nous fasciner par l’extraordinaire maîtrise de la technique picturale, mais aussi par le rendu de la psychologie des modèles.
Son insatiable curiosité et la conscience de son talent poussent Holbein à rechercher à plusieurs reprises de nouveaux commanditaires. Né et formé à Augsbourg, il termine son apprentissage et fonde un atelier à Bâle, mais accepte bientôt des commandes à Lucerne et voyage peut-être dans le nord de l’Italie. Alors que la pénétration des idées de la Réforme en Suisse entraîne une raréfaction des commandes religieuses, il se rend à la cour de François Ier mais échoue à se faire employer. Recommandé par son ami Érasme, il passe deux ans à Londres où il accède rapidement à des commandes prestigieuses. À l’issue d’un dernier séjour de quatre ans à Bâle, il retourne à la cour d’Henri VIII dont il devient le peintre en titre jusqu’à sa mort en 1543. Holbein est ainsi sans aucun doute l’un des plus grands Européens de la Renaissance.
Les 5 séances du cycle sont mises à disposition en replay sur le campus numérique de l'École https://lms.ecoledulouvre.fr durant les vacances de printemps (zones A, B et C), du samedi 8 avril au dimanche 7 mai 2023.
À l’instar d’Albrecht Dürer, Hans Holbein le Jeune incarne ce nouveau type d’artiste qui, au tournant des XVe et XVIe siècles, puise dans la tradition médiévale et la renouvelle sous l’impulsion des idées humanistes. Avec une remarquable aisance, il travaille dans le domaine de la peinture de chevalet mais aussi de la peinture murale et décorative, et fournit des dessins préparatoires à des orfèvres, des armuriers ainsi que des verriers. Ses portraits continuent aujourd’hui de nous fasciner par l’extraordinaire maîtrise de la technique picturale, mais aussi par le rendu de la psychologie des modèles.
Son insatiable curiosité et la conscience de son talent poussent Holbein à rechercher à plusieurs reprises de nouveaux commanditaires. Né et formé à Augsbourg, il termine son apprentissage et fonde un atelier à Bâle, mais accepte bientôt des commandes à Lucerne et voyage peut-être dans le nord de l’Italie. Alors que la pénétration des idées de la Réforme en Suisse entraîne une raréfaction des commandes religieuses, il se rend à la cour de François Ier mais échoue à se faire employer. Recommandé par son ami Érasme, il passe deux ans à Londres où il accède rapidement à des commandes prestigieuses. À l’issue d’un dernier séjour de quatre ans à Bâle, il retourne à la cour d’Henri VIII dont il devient le peintre en titre jusqu’à sa mort en 1543. Holbein est ainsi sans aucun doute l’un des plus grands Européens de la Renaissance.
Cours 1 : D’Augsbourg à Bâle : la fabrique d’un génie (1497/98 – 1520).
Cours 2 : Du Christ mort à la Danse de la mort : une époque tourmentée (1520-1526).
Cours 3 : Londres (1526-1528) et Bâle (1528-1532) : un artiste entre cour et ville.
Cours 4 : Le portraitiste des Ambassadeurs français, des marchands allemands et de la noblesse anglaise (1532-1543).
Cours 5 : Holbein peintre d’Henri VIII (1535-1543).