aide
Ecole du Louvre

La carte d’auditeur libre de l’École du Louvre* permet un accès gratuit et illimité pendant la durée des cours aux collections permanentes et aux expositions temporaires :

 

  • du musée du Louvre,
  • du musée Eugène Delacroix,
  • du musée d’Orsay,
  • du musée de l’Orangerie.


Elle offre un tarif réduit :

 

  • au musée national des arts asiatiques - Guimet,
  • au musée Rodin,
  • au musée national d’art moderne (Centre Pompidou).

 

La carte d'auditeur libre du cours d'initiation à l'histoire mondiale de l'architecture donne de plus un accès gratuit et illimité pendant la durée des cours aux collections permanentes de la Cité de l'architecture et du patrimoine.

 

* Sauf la carte d'auditeur libre des cours en régions.

lms.ecoledulouvre.fr

Accédez à :

  • Vos cours (ressources pédagogiques et bibliographies)
  • Extranet (planning des cours, annulation et report, informations pratiques)

Cycles découverte | Histoire mondiale de Paris | Cycles Expert

Cycles découverte
(en présentiel ou en distanciel)

Organisés ponctuellement durant l’année, les cycles découverte proposent des sujets thématiques d’archéologie et d’histoire de l’art en rapport avec l’actualité des musées et de la recherche.

 

Histoire mondiale de Paris
(en présentiel ou en distanciel)

Organisés en deux grandes sessions, les cours d’Histoire mondiale de Paris proposent une vision originale de l’histoire de Paris en la reliant à celle du monde. Une approche pour découvrir autrement l’histoire de la capitale à la lumière d’autres sources, d’autres regards, d’autres perceptions, appropriations et réappropriations de Paris. En présentiel, les cours se tiennent au musée Carnavalet-Histoire de Paris, 14, rue Payenne, 75003 Paris.

 

Cycles Expert
(en présentiel)

Les cycles Expert s'adressent aux auditeurs avertis qui souhaitent approfondir leurs connaissances en histoire de l'art à travers l'étude d'un sujet pointu issu de travaux de recherches les plus récents. Le format du cycle (3 cours de 2 heures) permet un temps d'échange et de discussion avec le(s) intervenant(s) dans l'esprit d'une séance de séminaire. Les débats seront animés par un membre du centre de recherche de l’École du Louvre. Un moment de convivialité est prévu à l'issue du dernier cours afin de favoriser le contact entre les participants.

L’attention des auditeurs est appelée sur le fait qu'une inscription à un cours en amphithéâtre ne donne pas accès à un cours en ligne et inversement.
Campus numérique de l'École du Louvre :  https://lms.ecoledulouvre.fr/

 

Les enseignements sont donnés en langue française.
En cas de nécessité, des modifications de calendrier et d'intervenants peuvent survenir. En cas de dégradation de la situation sanitaire ou sociale, la continuité pédagogique des cours sera assurée via le campus numérique de l'Ecole du Louvre.
 

Modalités et pièces à fournir pour s'inscrire par internet
  • Cycles découverte

 

En amphithéâtre

  • 135 € : plein tarif
  • 80 € : tarif réduit*

En ligne et en replay

  • 110 € : plein tarif
  • 65 € : tarif réduit*

 

  • Histoire mondiale de Paris

En amphithéâtre

  • 135 € : plein tarif
  • 80 € : tarif réduit*

En ligne et en replay

  • 110 € : plein tarif
  • 65 € : tarif réduit*

 

  • Cycles Expert

En amphithéâtre

  • 200 € : plein tarif
  • 120 € : tarif réduit*

 

* Le tarif réduit est ouvert au public suivant : jeunes de moins de 26 ans au 31 décembre suivant la date de la première séance du cours auquel ils sont inscrits, demandeurs d'emploi, bénéficiaires du RSA, bénéficiaires de l'AAH.
Pour les justificatifs à joindre : en savoir +

VERSION PDF (octobre 2024)

Je m'inscris par voie postale

Des places sont disponibles par correspondance, veuillez trouver ci-dessous les documents à télécharger et à envoyer :

  • Titien Peindre la saveur du monde
    Titien. Peindre la saveur du monde.
    • mardi (1 séance : 19h00 - 20h03, 4 séances : 19h00 - 20h30).
    • École du Louvre, Paris : Amphithéâtre Michel-Ange.
    • mardi 12 novembre 2024.

    Dans la Venise flamboyante de la Renaissance, Titien (1488-1576) s’impose comme le maître absolu de la peinture pendant plus d’un demi-siècle. Révolutionnant l’art du portrait, du tableau religieux ou des scènes mythologiques, aussi à l’aise dans les toiles intimistes que dans les immenses déflagrations de couleurs, il occupe, par son inventivité, sa productivité et sa longévité, une place à part dans la peinture occidentale, inspirant Velázquez autant que Rembrandt, Delacroix ou Manet. Peintre de l’énergie vitale et de la saveur du monde, autant que de ses drames, de sa violence et de son injustice, il se réinvente sans cesse pendant les trois quarts de siècle de sa carrière. Il meurt le pinceau à la main, à l’orée de ses 90 ans, laissant un exceptionnel héritage de formes et de couleurs.

    Novembre
    Mardi 12 novembre 2024, 19h00
    Venise 1500.
    Cédric Michon,
    professeur d'histoire moderne à l'Université Rennes 2, directeur des Presses Universitaires de Rennes.
    Mardi 19 novembre 2024, 19h00
    1520, la décennie miraculeuse.
    Cédric Michon,
    professeur d'histoire moderne à l'Université Rennes 2, directeur des Presses Universitaires de Rennes.
    Mardi 26 novembre 2024, 19h00
    Des princes et des doutes.
    Cédric Michon,
    professeur d'histoire moderne à l'Université Rennes 2, directeur des Presses Universitaires de Rennes.
    Décembre
    Mardi 3 décembre 2024, 19h00
    Le maître du portrait.
    Cédric Michon,
    professeur d'histoire moderne à l'Université Rennes 2, directeur des Presses Universitaires de Rennes.
    Mardi 10 décembre 2024, 19h00
    Le vieil homme n'entra pas dans un long hiver.
    Cédric Michon,
    professeur d'histoire moderne à l'Université Rennes 2, directeur des Presses Universitaires de Rennes.
    • Cédric Michon
      professeur d'histoire moderne à l'Université Rennes 2, directeur des Presses Universitaires de Rennes
    • Titien. Peindre la saveur du monde (en replay - vacances d'hiver).
      • vendredi (1 séance : 00h00 - 00h15).
      • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
      • vendredi 7 février 2025.

      Cours en replay du 7 février au 9 mars 2025 inclus

       

      Dans la Venise flamboyante de la Renaissance, Titien (1488-1576) s’impose comme le maître absolu de la peinture pendant plus d’un demi-siècle. Révolutionnant l’art du portrait, du tableau religieux ou des scènes mythologiques, aussi à l’aise dans les toiles intimistes que dans les immenses déflagrations de couleurs, il occupe, par son inventivité, sa productivité et sa longévité, une place à part dans la peinture occidentale, inspirant Velázquez autant que Rembrandt, Delacroix ou Manet. Peintre de l’énergie vitale et de la saveur du monde, autant que de ses drames, de sa violence et de son injustice, il se réinvente sans cesse pendant les trois quarts de siècle de sa carrière. Il meurt le pinceau à la main, à l’orée de ses 90 ans, laissant un exceptionnel héritage de formes et de couleurs.

      Février
      Vendredi 7 février 2025, 00h00
      (en ligne - vacances d'hiver).
      Cédric Michon,
      professeur d'histoire moderne à l'Université Rennes 2, directeur des Presses Universitaires de Rennes.
      • Cédric Michon
        professeur d'histoire moderne à l'Université Rennes 2, directeur des Presses Universitaires de Rennes
        Titien. Peindre la saveur du monde (en replay - vacances d'hiver).
      • Titien Peindre la saveur du monde
        Titien. Peindre la saveur du monde (en replay - vacances de printemps).
        • vendredi (1 séance : 00h00 - 00h15).
        • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
        • vendredi 4 avril 2025.

        Cours en replay du 4 avril au 4 mai 2025 inclus

         

        Dans la Venise flamboyante de la Renaissance, Titien (1488-1576) s’impose comme le maître absolu de la peinture pendant plus d’un demi-siècle. Révolutionnant l’art du portrait, du tableau religieux ou des scènes mythologiques, aussi à l’aise dans les toiles intimistes que dans les immenses déflagrations de couleurs, il occupe, par son inventivité, sa productivité et sa longévité, une place à part dans la peinture occidentale, inspirant Velázquez autant que Rembrandt, Delacroix ou Manet. Peintre de l’énergie vitale et de la saveur du monde, autant que de ses drames, de sa violence et de son injustice, il se réinvente sans cesse pendant les trois quarts de siècle de sa carrière. Il meurt le pinceau à la main, à l’orée de ses 90 ans, laissant un exceptionnel héritage de formes et de couleurs.

        Avril
        Vendredi 4 avril 2025, 00h00
        (en ligne - vacances de printemps).
        Cédric Michon,
        professeur d'histoire moderne à l'Université Rennes 2, directeur des Presses Universitaires de Rennes.
        • Cédric Michon
          professeur d'histoire moderne à l'Université Rennes 2, directeur des Presses Universitaires de Rennes
          Titien Peindre la saveur du monde
          Titien. Peindre la saveur du monde (en replay - vacances de printemps).
        • Cimabue
          Cimabue, aux origines de la peinture moderne en Occident.
          • mardi (5 séances : 19h00 - 20h30).
          • École du Louvre, Paris : Amphithéâtre Michel-Ange.
          • mardi 7 janvier 2025.

          De Cimabue, on ignore presque tout, jusqu’à la signification du surnom « Cimabue » que ses contemporains ont donné au peintre Cenni di Pepo (c. 1240 – 1302). Pourtant dès l’aube du XIVe siècle, Dante se fait l’écho de la renommée de celui qui fut le peintre italien le plus important de la fin du XIIIe siècle, et fut célébré comme le grand rénovateur de la peinture italienne. A l’occasion de l’exposition organisée du 22 janvier au 12 mai 2025 au musée du Louvre autour de la Maestà et de la Dérision du Christ récemment restaurées, ce cycle propose de découvrir les grandes créations du maître florentin et leur caractère éminemment novateur. Cimabue fut l’un des premiers peintres à chercher à représenter le monde, les objets et les corps tels qu’ils existent. Avec lui, les conventions de représentation héritées de l’art oriental, et notamment des icônes, si prisées jusqu’alors, cèdent la place à une peinture inventive, cherchant à suggérer un espace tridimensionnel, des corps en volumes, des gestes naturels et des émotions humaines, ouvrant la voie aux grandes inventions de Giotto ou de Duccio au XIVe siècle.

          Janvier
          Mardi 7 janvier 2025, 19h00
          La peinture en Italie au XIIIe siècle : de l’uniformité bariolée à la révolution picturale.
          Thomas Bohl,
          conservateur du patrimoine, département des peintures, Musée du Louvre.
          Mardi 14 janvier 2025, 19h00
          Cimabue, un peintre mystérieux.
          Thomas Bohl,
          conservateur du patrimoine, département des peintures, Musée du Louvre.
          Mardi 28 janvier 2025, 19h00
          Le triomphe d’un artiste.
          Thomas Bohl,
          conservateur du patrimoine, département des peintures, Musée du Louvre.
          Février
          Mardi 4 février 2025, 19h00
          Cimabue et son atelier.
          Thomas Bohl,
          conservateur du patrimoine, département des peintures, Musée du Louvre.
          Mardi 11 février 2025, 19h00
          Cimabue, Giotto et Duccio : transmission, émulation et rivalités à l’aube du Trecento.
          Thomas Bohl,
          conservateur du patrimoine, département des peintures, Musée du Louvre.
          • Thomas Bohl
            conservateur du patrimoine, département des peintures, Musée du Louvre
            Cimabue
            Cimabue, aux origines de la peinture moderne en Occident.
          • Cimabue
            Cimabue, aux origines de la peinture moderne en Occident. (en replay - vacances d'hiver)
            • vendredi (1 séance : 00h16 - 00h30).
            • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
            • vendredi 7 février 2025.

            Cours en replay du 7 février au 9 mars 2025 inclus

            De Cimabue, on ignore presque tout, jusqu’à la signification du surnom « Cimabue » que ses contemporains ont donné au peintre Cenni di Pepo (c. 1240 – 1302). Pourtant dès l’aube du XIVe siècle, Dante se fait l’écho de la renommée de celui qui fut le peintre italien le plus important de la fin du XIIIe siècle, et fut célébré comme le grand rénovateur de la peinture italienne. A l’occasion de l’exposition organisée du 22 janvier au 12 mai 2025 au musée du Louvre autour de la Maestà et de la Dérision du Christ récemment restaurées, ce cycle propose de découvrir les grandes créations du maître florentin et leur caractère éminemment novateur. Cimabue fut l’un des premiers peintres à chercher à représenter le monde, les objets et les corps tels qu’ils existent. Avec lui, les conventions de représentation héritées de l’art oriental, et notamment des icônes, si prisées jusqu’alors, cèdent la place à une peinture inventive, cherchant à suggérer un espace tridimensionnel, des corps en volumes, des gestes naturels et des émotions humaines, ouvrant la voie aux grandes inventions de Giotto ou de Duccio au XIVe siècle.

            Février
            Vendredi 7 février 2025, 00h16
            (en ligne - vacances d'hiver).
            Thomas Bohl,
            conservateur du patrimoine, département des peintures, Musée du Louvre.
            • Thomas Bohl
              conservateur du patrimoine, département des peintures, Musée du Louvre
              Cimabue
              Cimabue, aux origines de la peinture moderne en Occident. (en replay - vacances d'hiver)
            • Cimabue
              Cimabue, aux origines de la peinture moderne en Occident. (en replay- vacances de printemps)
              • vendredi (1 séance : 00h16 - 00h30).
              • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
              • vendredi 4 avril 2025.

              Cours en replay du 4 avril au 4 mai 2025

              De Cimabue, on ignore presque tout, jusqu’à la signification du surnom « Cimabue » que ses contemporains ont donné au peintre Cenni di Pepo (c. 1240 – 1302). Pourtant dès l’aube du XIVe siècle, Dante se fait l’écho de la renommée de celui qui fut le peintre italien le plus important de la fin du XIIIe siècle, et fut célébré comme le grand rénovateur de la peinture italienne. A l’occasion de l’exposition organisée du 22 janvier au 12 mai 2025 au musée du Louvre autour de la Maestà et de la Dérision du Christ récemment restaurées, ce cycle propose de découvrir les grandes créations du maître florentin et leur caractère éminemment novateur. Cimabue fut l’un des premiers peintres à chercher à représenter le monde, les objets et les corps tels qu’ils existent. Avec lui, les conventions de représentation héritées de l’art oriental, et notamment des icônes, si prisées jusqu’alors, cèdent la place à une peinture inventive, cherchant à suggérer un espace tridimensionnel, des corps en volumes, des gestes naturels et des émotions humaines, ouvrant la voie aux grandes inventions de Giotto ou de Duccio au XIVe siècle.

              Avril
              Vendredi 4 avril 2025, 00h16
              (en ligne - vacances de printemps)
              Thomas Bohl,
              conservateur du patrimoine, département des peintures, Musée du Louvre.
              • Thomas Bohl
                conservateur du patrimoine, département des peintures, Musée du Louvre
                Cimabue
                Cimabue, aux origines de la peinture moderne en Occident. (en replay- vacances de printemps)
              • Du parchemin au lutrin
                Du parchemin au lutrin : les secrets des manuscrits enluminés du Moyen Âge.
                • mardi (5 séances : 19h00 - 20h30).
                • École du Louvre, Paris : Amphithéâtre Michel-Ange.
                • mardi 4 mars 2025.

                Le terme « enluminer » vient du latin « illuminare » qui signifie « rendre lumineux », « éclairer ». L’enluminure a donc quelque chose à voir avec la lumière et la clarté. Si l’on peut entendre cette définition dans un sens esthétique avec l’application de l’or qui offre l’illusion de rayons étincelants sur la page, on peut également l’interpréter dans un sens pratique ou au contraire intellectuel, voire spirituel. Sans le travail des enlumineurs, l’homme du Moyen Âge qui ouvre un manuscrit serait perdu. Le décor qui anime le codex de page en page structure le texte, en hiérarchise le contenu. L’image qui illustre un récit ou la pensée d’un auteur aide à en comprendre le sens ou les sens. Aussi l’enluminure est-elle intrinsèquement liée à son support, au texte et au contexte qui l’a vu naître.

                À travers l’étude de quatre grands chefs-d’œuvre enluminés, nous proposons de découvrir l’univers des manuscrits médiévaux. Nous analyserons les circonstances de leur commande et les interactions à l’œuvre entre l’image, le livre, la page, le texte et l’usage.

                Mars
                Mardi 4 mars 2025, 19h00
                Introduction à l’étude des manuscrits médiévaux.
                Anne Ritz-Guilbert,
                docteure en histoire de l'art, habilitée à diriger des recherches, équipe de recherche, École du Louvre.
                Mardi 11 mars 2025, 19h00
                Aux origines de l’ordre cistercien, la Bible d’Etienne Harding (Cîteaux, 1109-1111).
                Anne Ritz-Guilbert,
                docteure en histoire de l'art, habilitée à diriger des recherches, équipe de recherche, École du Louvre.
                Mardi 18 mars 2025, 19h00
                Le Psautier d’Ingeburge ou le « premier » manuscrit gothique.
                Anne Ritz-Guilbert,
                docteure en histoire de l'art, habilitée à diriger des recherches, équipe de recherche, École du Louvre.
                Mardi 25 mars 2025, 19h00
                Entre tradition et modernité, le génie de Jean Pucelle et les Heures de Jeanne d’Évreux.
                Anne Ritz-Guilbert,
                docteure en histoire de l'art, habilitée à diriger des recherches, équipe de recherche, École du Louvre.
                Avril
                Mardi 1 avril 2025, 19h00
                Des drôleries gothiques au bestiaire de Pisanello : le Bréviaire de Marie de Savoie.
                Anne Ritz-Guilbert,
                docteure en histoire de l'art, habilitée à diriger des recherches, équipe de recherche, École du Louvre.
                • Anne Ritz-Guilbert
                  docteure en histoire de l'art, habilitée à diriger des recherches, équipe de recherche, École du Louvre
                  Du parchemin au lutrin
                  Du parchemin au lutrin : les secrets des manuscrits enluminés du Moyen Âge.
                • Du parchemin au lutrin
                  Du parchemin au lutrin : à la découverte des manuscrits enluminés (en replay - vacances de printemps).
                  • vendredi (1 séance : 00h31 - 00h45).
                  • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
                  • vendredi 4 avril 2025.

                  Cours en replay du 4 avril au 4 mai 2025

                   

                  Le terme « enluminer » vient du latin « illuminare » qui signifie « rendre lumineux », « éclairer ». L’enluminure a donc quelque chose à voir avec la lumière et la clarté. Si l’on peut entendre cette définition dans un sens esthétique avec l’application de l’or qui offre l’illusion de rayons étincelants sur la page, on peut également l’interpréter dans un sens pratique ou au contraire intellectuel, voire spirituel. Sans le travail des enlumineurs, l’homme du Moyen Âge qui ouvre un manuscrit serait perdu. Le décor qui anime le codex de page en page structure le texte, en hiérarchise le contenu. L’image qui illustre un récit ou la pensée d’un auteur aide à en comprendre le sens ou les sens. Aussi l’enluminure est-elle intrinsèquement liée à son support, au texte et au contexte qui l’a vu naître.

                  À travers l’étude de quatre grands chefs-d’œuvre enluminés, nous proposons de découvrir l’univers des manuscrits médiévaux. Nous analyserons les circonstances de leur commande et les interactions à l’œuvre entre l’image, le livre, la page, le texte et l’usage.

                  Avril
                  Vendredi 4 avril 2025, 00h31
                  (en ligne - vacances de printemps).
                  Anne Ritz-Guilbert,
                  docteure en histoire de l'art, habilitée à diriger des recherches, équipe de recherche, École du Louvre.
                  • Anne Ritz-Guilbert
                    docteure en histoire de l'art, habilitée à diriger des recherches, équipe de recherche, École du Louvre
                    Du parchemin au lutrin
                    Du parchemin au lutrin : à la découverte des manuscrits enluminés (en replay - vacances de printemps).
                  • Histoire mondiale de Paris : les lieux
                    • mercredi (5 séances : 19h00 - 20h30).
                    • Musée Carnavalet, Paris : salle de l'Orangerie au musée Carnavalet.
                    • mercredi 6 novembre 2024.

                    Paris, ville lumière, Paris, capitale des plaisirs et du crime, Paris capitale de la modernité et des révolutions… Que Paris possède une dimension mondiale ne fait pas de doutes. Mais que cela signifie-t-il ? Pour y répondre, cette première série de cours propose d’arpenter les lieux parisiens, considérés comme des marques de pouvoir, des espaces de vie et des enjeux symboliques. Capitale pluriséculaire d’un royaume puis d’un Etat-nation parmi les plus puissants d’Europe et du monde, Paris concentre dans sa matérialité et son territoire les traces de cette portée mondiale, tour à tour économique, religieuse et politique. Au-delà de son rayonnement, Paris s’inscrit aussi dans une compétition internationale dont elle n’est pas toujours le centre. Ses transformations sont bien souvent le fruit d’emprunts et de circulations qui lui sont extérieurs. Et les flux de biens, d’argent, d’images, d’hommes et de femmes qui la traversent sont de nature extrêmement diverse. De Notre-Dame à la bibliothèque du Roi, de la Bourse à Barbès, venez découvrir cette autre histoire de Paris et du Monde.

                    Novembre
                    Mercredi 6 novembre 2024, 19h00
                    Chercher Paris : hors de Paris ?
                    Pierre-Yves Saunier,
                    chargé de recherche, CNRS-ENS Lyon, professeur asssocié à l'Université de Laval, Québec.
                    Mercredi 13 novembre 2024, 19h00
                    Notre-Dame, histoire d'une icône mondiale.
                    Julie Claustre,
                    professeure des universités en histoire du Moyen-Age,, Université Paris Cité.
                    Mercredi 20 novembre 2024, 19h00
                    Tous les savoirs du monde : la bibliothèque du roi comme bibliothèque universelle au XVIIIe siècle.
                    Stéphane Van Damme,
                    professeur d'histoire moderne, Ecole Normale Supérieure, Paris.
                    Décembre
                    Mercredi 4 décembre 2024, 19h00
                     Apprivoiser la spéculation financière : la Bourse de Paris.
                    Pierre-Cyrille Hautcoeur,
                    directeur d'études, École des hautes études en sciences sociales, École d'économie de Paris.
                    Mercredi 11 décembre 2024, 19h00
                      Goutte d'Or - Barbès : Dans le reflet de la vitrine d'une ville multiculturelle.
                    Emmanuelle Lallement,
                    professeure d’anthropologie urbaine, Institut d'études éuropéennes, université Paris 8.
                    • Julie Claustre
                      professeure des universités en histoire du Moyen-Age,, Université Paris Cité
                    • Pierre-Cyrille Hautcoeur
                      directeur d'études, École des hautes études en sciences sociales, École d'économie de Paris
                    • Emmanuelle Lallement
                      professeure d’anthropologie urbaine, Institut d'études éuropéennes, université Paris 8
                    • Pierre-Yves Saunier
                      chargé de recherche, CNRS-ENS Lyon, professeur asssocié à l'Université de Laval, Québec
                    • Stéphane Van Damme
                      professeur d'histoire moderne, Ecole Normale Supérieure, Paris
                    • Histoire mondiale de Paris : les lieux (en replay - vacances d'hiver)
                      • vendredi (1 séance : 00h00 - 00h15).
                      • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
                      • vendredi 7 février 2025.

                      Paris, ville lumière, Paris, capitale des plaisirs et du crime, Paris capitale de la modernité et des révolutions… Que Paris possède une dimension mondiale ne fait pas de doutes. Mais que cela signifie-t-il ? Pour y répondre, cette première série de cours propose d’arpenter les lieux parisiens, considérés comme des marques de pouvoir, des espaces de vie et des enjeux symboliques. Capitale pluriséculaire d’un royaume puis d’un Etat-nation parmi les plus puissants d’Europe et du monde, Paris concentre dans sa matérialité et son territoire les traces de cette portée mondiale, tour à tour économique, religieuse et politique. Au-delà de son rayonnement, Paris s’inscrit aussi dans une compétition internationale dont elle n’est pas toujours le centre. Ses transformations sont bien souvent le fruit d’emprunts et de circulations qui lui sont extérieurs. Et les flux de biens, d’argent, d’images, d’hommes et de femmes qui la traversent sont de nature extrêmement diverse. De Notre-Dame à la bibliothèque du Roi, de la Bourse à Barbès, venez découvrir cette autre histoire de Paris et du Monde.

                      Février
                      Vendredi 7 février 2025, 00h00
                      Julie Claustre,
                      professeure des universités en histoire du Moyen-Age,, Université Paris Cité.
                      Pierre-Cyrille Hautcoeur,
                      directeur d'études, École des hautes études en sciences sociales, École d'économie de Paris.
                      Emmanuelle Lallement,
                      professeure d’anthropologie urbaine, Institut d'études éuropéennes, université Paris 8.
                      Pierre-Yves Saunier,
                      chargé de recherche, CNRS-ENS Lyon, professeur asssocié à l'Université de Laval, Québec.
                      Stéphane Van Damme,
                      professeur d'histoire moderne, Ecole Normale Supérieure, Paris.
                      • Julie Claustre
                        professeure des universités en histoire du Moyen-Age,, Université Paris Cité
                      • Pierre-Cyrille Hautcoeur
                        directeur d'études, École des hautes études en sciences sociales, École d'économie de Paris
                      • Emmanuelle Lallement
                        professeure d’anthropologie urbaine, Institut d'études éuropéennes, université Paris 8
                      • Pierre-Yves Saunier
                        chargé de recherche, CNRS-ENS Lyon, professeur asssocié à l'Université de Laval, Québec
                      • Stéphane Van Damme
                        professeur d'histoire moderne, Ecole Normale Supérieure, Paris
                        Histoire mondiale de Paris : les lieux (en replay - vacances d'hiver)
                      • Histoire mondiale de Paris : les imaginaires
                        • mercredi (5 séances : 19h00 - 20h30).
                        • Musée Carnavalet, Paris : salle de l'Orangerie au musée Carnavalet.
                        • mercredi 5 mars 2025.

                        Paris, ville lumière, Paris, capitale des plaisirs et du crime, Paris capitale de la modernité et des révolutions… Que Paris possède une dimension mondiale ne fait pas de doutes. Mais que cela signifie-t-il ? Pour y répondre, cette seconde série de cours s’intéressera aux imaginaires parisiens. Paris a toujours su incarner les symboles les plus puissants. Dès le XIIIe siècle, les autorités religieuses et municipales tâchent d’en faire la « nouvelle Jérusalem » de la Chrétienté. Au XIXe siècle, elle devient la « capitale des signes », un lieu fictif où les lecteurs et lectrices du monde entier tâchent de déchiffrer le mystère des transformations urbaines alors en cours. Les séances démonteront les mécanismes de cette puissance culturelle, perceptible au XVIIIe dans le monde des spectacles. Elles montreront comment cet imaginaire s’est aussi appuyé sur un récit des origines gauloises que la recherche récente invite à déconstruire et comment son influence bien réelle s’avère aussi sur ses « lointains », comme l’Amérique dite « latine », le fruit d’inventifs procédés de réinventions. Capitale des arts, Paris est enfin productrice d’images, certaines officielles et académiques, d’autres alternatives et d’opposition, notamment coloniale, qui seront explorées. Loin de l’image d’Epinal de la tour Eiffel, c’est à un tout autre portrait que vous convie cette traversée kaléidoscopique des imaginaires de Paris.

                        Mars
                        Mercredi 5 mars 2025, 19h00
                        Des quatre coins du monde, mais lesquels ? Paris dans les flux de 
                        personnes.
                        Pierre-Yves Saunier,
                        chargé de recherche, CNRS-ENS Lyon, professeur asssocié à l'Université de Laval, Québec.
                        Mercredi 12 mars 2025, 19h00
                        Les origines gauloises de Paris : regards étrangers sur une success story.
                        Carole Quatrelivre,
                        Mercredi 19 mars 2025, 19h00
                        Paris capitale du XVIIIe siècle ? Le cas des spectacles.
                        Rahul Markovits,
                        maître de conférences HDR en Histoire moderne, École normale supérieure .
                        Mercredi 26 mars 2025, 19h00
                        Paris, capitale de l'Amérique "latine" ?
                        Clément Thibaud,
                        directeur d'études, CNRS-EHESS-Paris 1 Panthéon-Sorbonne-Paris Nanterre.
                        Avril
                        Mercredi 9 avril 2025, 19h00
                        L'art de la décolonisation à Paris.
                        Maureen Murphy,
                        maître de conférences Université de Paris 10.
                        • Rahul Markovits
                          maître de conférences HDR en Histoire moderne, École normale supérieure
                        • Maureen Murphy
                          maître de conférences Université de Paris 10
                        • Carole Quatrelivre
                        • Pierre-Yves Saunier
                          chargé de recherche, CNRS-ENS Lyon, professeur asssocié à l'Université de Laval, Québec
                        • Clément Thibaud
                          directeur d'études, CNRS-EHESS-Paris 1 Panthéon-Sorbonne-Paris Nanterre
                          Histoire mondiale de Paris : les imaginaires
                        • Histoire mondiale de Paris : les imaginaires (en replay - vacances de printemps)
                          • vendredi (1 séance : 00h00 - 00h15).
                          • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
                          • vendredi 4 avril 2025.

                          Paris, ville lumière, Paris, capitale des plaisirs et du crime, Paris capitale de la modernité et des révolutions… Que Paris possède une dimension mondiale ne fait pas de doutes. Mais que cela signifie-t-il ? Pour y répondre, cette seconde série de cours s’intéressera aux imaginaires parisiens. Paris a toujours su incarner les symboles les plus puissants. Dès le XIIIe siècle, les autorités religieuses et municipales tâchent d’en faire la « nouvelle Jérusalem » de la Chrétienté. Au XIXe siècle, elle devient la « capitale des signes », un lieu fictif où les lecteurs et lectrices du monde entier tâchent de déchiffrer le mystère des transformations urbaines alors en cours. Les séances démonteront les mécanismes de cette puissance culturelle, perceptible au XVIIIe dans le monde des spectacles. Elles montreront comment cet imaginaire s’est aussi appuyé sur un récit des origines gauloises que la recherche récente invite à déconstruire et comment son influence bien réelle s’avère aussi sur ses « lointains », comme l’Amérique dite « latine », le fruit d’inventifs procédés de réinventions. Capitale des arts, Paris est enfin productrice d’images, certaines officielles et académiques, d’autres alternatives et d’opposition, notamment coloniale, qui seront explorées. Loin de l’image d’Epinal de la tour Eiffel, c’est à un tout autre portrait que vous convie cette traversée kaléidoscopique des imaginaires de Paris.

                          Avril
                          Vendredi 4 avril 2025, 00h00
                          (En replay - vacances de printemps)
                          Rahul Markovits,
                          maître de conférences HDR en Histoire moderne, École normale supérieure .
                          Maureen Murphy,
                          maître de conférences Université de Paris 10.
                          Carole Quatrelivre,
                          Pierre-Yves Saunier,
                          chargé de recherche, CNRS-ENS Lyon, professeur asssocié à l'Université de Laval, Québec.
                          Clément Thibaud,
                          directeur d'études, CNRS-EHESS-Paris 1 Panthéon-Sorbonne-Paris Nanterre.
                          • Rahul Markovits
                            maître de conférences HDR en Histoire moderne, École normale supérieure
                          • Maureen Murphy
                            maître de conférences Université de Paris 10
                          • Carole Quatrelivre
                          • Pierre-Yves Saunier
                            chargé de recherche, CNRS-ENS Lyon, professeur asssocié à l'Université de Laval, Québec
                          • Clément Thibaud
                            directeur d'études, CNRS-EHESS-Paris 1 Panthéon-Sorbonne-Paris Nanterre
                            Histoire mondiale de Paris : les imaginaires (en replay - vacances de printemps)
                          • Arts de l'Afrique
                            Penser l'authenticité pour les arts de l'Afrique.
                            • mardi (1 séance : 18h30 - 20h00, 2 séances : 18h30 - 20h30).
                            • École du Louvre, Paris : Amphithéâtre Cézanne.
                            • mardi 14 janvier 2025.

                            Ce cours interroge la notion d’authenticité dans les arts de l’Afrique en considérant la centralité de cette notion dans la formation et le développement du goût pour ces arts au XXe siècle. Les textes fondateurs pour la formation du canon pour les arts de l’Afrique, ainsi que des documents d’archives tels que des correspondances de marchands, servent de point de départ à cette réflexion. La capacité à dépasser les catégories majoritairement définies en dehors de l’Afrique amène à explorer d'autres enjeux clés de l’histoire de l’art africain, comme la dichotomie présumée entre tradition et modernité, ou encore entre tradition et innovation.

                            Janvier
                            Mardi 14 janvier 2025, 18h30
                            Construction d’un concept.
                            Yaelle Biro,
                            docteure en histoire de l’art, conservatrice arts de l’Afrique au Metropolitan Museum of Art, New York (2010-2021), chercheuse indépendante.
                            Mardi 28 janvier 2025, 18h30
                            Vrai ou faux.
                            Yaelle Biro,
                            docteure en histoire de l’art, conservatrice arts de l’Afrique au Metropolitan Museum of Art, New York (2010-2021), chercheuse indépendante.
                            Février
                            Mardi 4 février 2025, 18h30
                            Expansion du canon en question.
                            Yaelle Biro,
                            docteure en histoire de l’art, conservatrice arts de l’Afrique au Metropolitan Museum of Art, New York (2010-2021), chercheuse indépendante.
                            • Yaelle Biro
                              docteure en histoire de l’art, conservatrice arts de l’Afrique au Metropolitan Museum of Art, New York (2010-2021), chercheuse indépendante
                              Arts de l'Afrique
                              Penser l'authenticité pour les arts de l'Afrique.