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  • au musée national des arts asiatiques - Guimet,
  • au musée Rodin,
  • au musée national d’art moderne (Centre Pompidou).

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Cours d'été en replay

 

Modalités d'enseignement


Les cours d'été en replay sont accessibles sur le campus numérique de l'École, du 14 juillet au 31 août 2025.
L’attention des auditeurs est appelée sur le fait qu'une inscription à un cours en replay ne donne pas accès à un cours en amphithéâtre, et inversement.

Modalités et pièces à fournir pour s'inscrire par internet

 

Cours en replay

  • 110 € Plein tarif
  • 80 € Plein tarif dégressif **
  • 65 € Tarif réduit *
  • 50 € Tarif réduit dégressif **

 


* Le tarif réduit est ouvert au public suivant : jeunes de moins de 26 ans au 31 décembre suivant la date de la première séance du cours auquel ils sont inscrits, demandeurs d'emploi, bénéficiaires du RSA, bénéficiaires de l'AAH.
** La dégressivité est accordée à partir de l'inscription à un deuxième cours en présentiel ou à un deuxième cours en replay. La dégressivité ne s'applique pas entre un cours en présentiel et un cours en replay.

VERSION PDF (mars 2025)

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Des places sont disponibles par correspondance, veuillez trouver ci-dessous les documents à télécharger et à envoyer :

  • De Louis XVIII à Charles X
    De Louis XVIII à Charles X : chefs-d'oeuvres des arts décoratifs au temps de la Restauration. (en ligne) (n°CE01w)
    • lundi (1 séance : 00h01 - 00h15).
    • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
    • lundi 14 juillet 2025.

    Période longtemps délaissée, éclipsée par le Premier Empire et ses figures légendaires, la Restauration a fait l'objet d'une redécouverte progressive dans la seconde moitié du XXe siècle. Première expérience de monarchie constitutionnelle, considérée comme une époque charnière dans l'histoire politique française, cette séquence est également l'objet de nouvelles approches, tant en histoire économique, diplomatique et sociale qu'en histoire de l'art, confirmant son rôle de matrice de la France contemporaine.

    A travers l’évocation du quotidien des palais et l'évolution de l'étiquette, des fêtes et cérémonies, c’est tout un univers politique et diplomatique qu’incarne la cour de Louis XVIII puis de Charles X. La très haute technicité des objets produits par les manufactures royales sert le désir de promouvoir la légitimité du nouveau régime à travers la réalisation de pièces qui rappellent les hauts faits de la lignée des Bourbons. Mais la valeur du patrimoine artistique légué par la Maison du roi s’apprécie également à travers une ambition de réussite industrielle et commerciale aux antipodes de l’image conservatrice de la Restauration.

    Juillet
    Lundi 14 juillet 2025, 00h01
    De Louis XVIII à Charles X : chefs-d'oeuvres des arts décoratifs au temps de la Restauration. (en ligne)
    Arnaud Denis,
    inspecteur des collections, Mobilier national et manufactures nationales.
    Anne Dion,
    conservatrice générale du patrimoine, adjointe au directeur du département des objets d'art, musée du Louvre.
    Charles-Eloi Vial,
    archiviste paléographe, conservateur, département des manuscrits, Bibliothèque nationale de France.
    Christine Vivet-Peclet,
    conservatrice en chef du patrimoine, chargée des collections de 1800 à 1945, Sèvres - Manufacture et musée nationaux.
    • Arnaud Denis
      inspecteur des collections, Mobilier national et manufactures nationales
    • Anne Dion
      conservatrice générale du patrimoine, adjointe au directeur du département des objets d'art, musée du Louvre
    • Charles-Eloi Vial
      archiviste paléographe, conservateur, département des manuscrits, Bibliothèque nationale de France
    • Christine Vivet-Peclet
      conservatrice en chef du patrimoine, chargée des collections de 1800 à 1945, Sèvres - Manufacture et musée nationaux
    De Louis XVIII à Charles X
    De Louis XVIII à Charles X : chefs-d'oeuvres des arts décoratifs au temps de la Restauration. (en ligne)
  • Ambiances du Nord
    Ambiances du Nord : architecture et design contemporains en Suède, Finlande, Danemark et Norgève. (en ligne) (n°CE02w)
    • lundi (1 séance : 00h16 - 00h30).
    • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
    • lundi 14 juillet 2025.

    Du début du XXe siècle au XXIe siècle, l’architecture et le design des pays nordiques suivent des trajectoires singulières et contradictoires, marquées à la fois par des aspirations nationales et des influences internationales : le retour au vernaculaire et la recherche de modernité, l’attachement à la nature et l’industrialisation. En Suède, Finlande, Danemark et Norvège, les architectes et designers, qui cumulent souvent les deux professions, ont su concilier préoccupations fonctionnalistes et haute qualité artistique dans la conception des objets du quotidien. Après la guerre, ils ont aussi été marqués par l’industrialisation et la standardisation de la construction, tout en restant fidèles à une vision organique de la nature et à la place de l’homme. Pour les créateurs contemporains, le rapport fusionnel au paysage et les démarches écologiques prolongent cette visée humaniste par des interventions architecturales soigneusement intégrées. De Eliel Saarinen à Snøhetta, en passant par la figure tutélaire d’Alvar Aalto, de Sven Markelius à Arne Jacobsen, jusqu’au design contemporain, ces projets prennent souvent la forme de créations totales, d’ambiances riches de sons, textures et lumières qui réaffirment la nécessaire harmonie de l’homme avec son environnement.

    Juillet
    Lundi 14 juillet 2025, 00h16
    Ambiances scandinaves : architecture et design contemporains en Suède, Finlande, Danemark et Norgève. (en ligne)
    Stéphanie Quantin-Biancalani,
    conservatrice du patrimoine, service architecture, Musée national d’art moderne, Centre Pompidou.
    • Stéphanie Quantin-Biancalani
      conservatrice du patrimoine, service architecture, Musée national d’art moderne, Centre Pompidou
    Ambiances du Nord
    Ambiances du Nord : architecture et design contemporains en Suède, Finlande, Danemark et Norgève. (en ligne)
  • Empires disparus et sourires des dieux
    Empires disparus et sourires des dieux : Angkor et l'art sacré de l'Asie du Sud-Est (Ve-XIIIe siècle). (en ligne) (n°CE03w)
    • lundi (1 séance : 00h31 - 00h45).
    • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
    • lundi 14 juillet 2025.

    L’art ancien de l’Asie du Sud-Est est marqué par l’interaction entre une forte influence culturelle et religieuse de l’Inde (sanskrit, hindouisme et bouddhisme) et de vigoureuses traditions locales. S’il n’y a jamais eu de colonisation massive de populations indiennes en Asie du Sud-Est, la diffusion de la culture indienne et de ses arts (indianisation) s’est faite au travers d’un actif réseau commercial et artistique entre les littoraux de l’Inde et de nombreuses cités-États d’Asie du Sud-Est.

    Quelles sont les premières traces de l’indianisation en Asie du Sud-Est ? Comment se caractérise l’art khmer du Cambodge des origines à l’apogée d’Angkor ? Quelle est la signification des mystérieux sourires des tours du temple du Bayon, des belles apsaras ou des portraits méditatifs du roi Jayavarman VII ? Comment l’art bouddhique s’est-il développé en Birmanie (Pyu) en Thaïlande (Dvaravati) et au Vietnam (Champa) ? Quel est le sens de l’immense mandala de pierre que représente le sanctuaire bouddhique de Borobudur en Indonésie ? Autant de questions que l’analyse d’une sélection représentative des plus beaux monuments et œuvres d’art de l’Asie du Sud-Est ancienne permet d’éclairer.

    Juillet
    Lundi 14 juillet 2025, 00h31
    Empires disparus et sourires des dieux : Angkor et l'art sacré de l'Asie du Sud-Est. (en ligne)
    Alexandre Astier,
    Docteur en histoire de l'art, membre du Centre de Recherche sur l'Extrême-Orient de Sorbonne Université (CREOPS), ATER.
    • Alexandre Astier
      Docteur en histoire de l'art, membre du Centre de Recherche sur l'Extrême-Orient de Sorbonne Université (CREOPS), ATER
    Empires disparus et sourires des dieux
    Empires disparus et sourires des dieux : Angkor et l'art sacré de l'Asie du Sud-Est (Ve-XIIIe siècle). (en ligne)
  • Visages du pouvoir et de l'intimité
    Visages du pouvoir et de l'intimité : le portrait dans les arts grec et romain. (en ligne) (n°CE04w)
    • lundi (1 séance : 00h46 - 01h00).
    • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
    • lundi 14 juillet 2025.

    De Périclès à Auguste, la question de la représentation individuelle traverse l’Antiquité au fil d’une galerie de grands hommes. Pour autant, tous ces portraits d’hommes et de femmes répondent-ils à l’image moderne que l’on se fait du genre ?

    Objectivation de l’image de soi, sujet fait objet, le portrait, qui figure parmi les genres phares de l’Antiquité classique, suscite des questions d’ordre théorique autant que pratique. Catégorie moderne, dont la définition fut énoncée au XVIIe siècle, il incarne un défi lancé à l’historien : jusqu’à quel point cette définition est-elle applicable dans l’Antiquité ? Comment les contextes de commande et les ressorts de la culture visuelle, qui définissent les images comme objets souscrivant à une fonction, répondant à des besoins, se traduisent-ils en termes esthétiques?

    L’histoire respective des portraits grecs et romains permet de souligner leurs spécificités comme leurs interactions et d’appréhender les enjeux plus larges de la compréhension du portrait dans son environnement social.

    Juillet
    Lundi 14 juillet 2025, 00h46
    Visages du pouvoir et de l'intimité : le portrait dans les arts grec et romain. (en ligne)
    Ludovic Laugier,
    conservateur en chef du patrimoine, département des antiquités grecques, étrusques et romaines, musée du Louvre.
    Martin Szewczyk,
    conservateur du patrimoine, musée du Louvre, département des antiquités grecques, étrusques et romaines.
    • Ludovic Laugier
      conservateur en chef du patrimoine, département des antiquités grecques, étrusques et romaines, musée du Louvre
    • Martin Szewczyk
      conservateur du patrimoine, musée du Louvre, département des antiquités grecques, étrusques et romaines
    Visages du pouvoir et de l'intimité
    Visages du pouvoir et de l'intimité : le portrait dans les arts grec et romain. (en ligne)
  • Aux couleurs du temps
    Aux couleurs du temps : paysages de l'Europe du Nord, de la Renaissance au XIXe siècle. (en ligne) (n°CE05w)
    • lundi (1 séance : 01h01 - 01h15).
    • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
    • lundi 14 juillet 2025.

    Depuis quelques décennies, monographies d’artistes, essais et traités d’esthétique ont retracé les étapes de la naissance du paysage en tant que genre pictural. D’accessoire, il est devenu l’un des motifs essentiels où s’expérimente le travail du plein air, où s’exprime la fascination pour le spectacle d’une nature non transformée, où se dit aujourd’hui l’inquiétude face aux dangers qui menacent l’environnement. Si la France et l’Italie sont le plus souvent associées à cette aventure, les pays du Nord - ainsi nomme-t-on par convention l’espace culturel pourtant très bigarré et complexe qui se déploie au nord des Alpes – ont été au cœur de certaines des plus belles révolutions du genre. Les paysages cosmiques des Flandres, la lumière de la Hollande ou le sublime tragique des glaciers nous invitent à un voyage dans lequel on doit questionner autant le regard que les artistes ont porté sur leur environnement que la réception de leurs œuvres par le public de leur temps.

    Juillet
    Lundi 14 juillet 2025, 01h01
    Aux couleurs du temps : paysages de l'Europe du Nord, de la Renaissance au XIXe siècle. (en ligne)
    Sophie Laroche,
    conservatrice du patrimoine, collections XIVe - début XIXe siècles, musée des Beaux-Arts, Nancy.
    Zoé Marty,
    conservatrice du patrimoine, musée d’art moderne et contemporain de Saint Etienne.
    • Sophie Laroche
      conservatrice du patrimoine, collections XIVe - début XIXe siècles, musée des Beaux-Arts, Nancy
    • Zoé Marty
      conservatrice du patrimoine, musée d’art moderne et contemporain de Saint Etienne
    Aux couleurs du temps
    Aux couleurs du temps : paysages de l'Europe du Nord, de la Renaissance au XIXe siècle. (en ligne)
  • Voir au-delà des clichés
    Voir au-delà des clichés : l'impressionnisme et la photographie. (en ligne) (n°CE06w)
    • lundi (1 séance : 01h16 - 01h30).
    • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
    • lundi 14 juillet 2025.

    C’est dans l’atelier laissé vacant par le photographe Nadar, 35 boulevard des Capucines à Paris, que se tint l’exposition dans laquelle le tableau de Monet Impression Soleil Levant suscita la critique acerbe d’un journaliste satiriste, Louis Leroy, qui forgea le terme, alors dépréciatif, d’impressionnisme. Les liens entre la photographie et la peinture impressionniste sont dès l’origine multiples et réciproques au point qu’on a pu faire de l’impressionnisme le modèle hégémonique de la photographie artistique à la fin du XIXe siècle. L’évidence de certains rapprochements tels que les audacieux cadrages d’Edgar Degas ou de Gustave Caillebotte ou les effets atmosphériques des photographies pictorialistes, mérite cependant d’être réinterrogée. Quel est le rôle joué par la couleur, en particulier à partir de l’invention de l’autochrome en 1907, premier procédé commercialisé de photographies en couleur, dans cette équation ? Si l’impressionnisme a sans aucun doute été le modèle par excellence pour les photographes à la recherche d’un statut artistique pour leur médium, n’ont-ils pas puisé dans d’autres modèles picturaux moins revendiqués mais tout aussi stimulants ?

    Juillet
    Lundi 14 juillet 2025, 01h16
    Voir au-delà des clichés : l'impressionnisme et la photographie. (en ligne)
    Julien Faure-Conorton,
    docteur en histoire et théorie des arts, chargé de recherche et de valorisation scientifique des collections, Musée départemental Albert-Kahn, Boulogne-Billancourt.
    • Julien Faure-Conorton
      docteur en histoire et théorie des arts, chargé de recherche et de valorisation scientifique des collections, Musée départemental Albert-Kahn, Boulogne-Billancourt
    Voir au-delà des clichés
    Voir au-delà des clichés : l'impressionnisme et la photographie. (en ligne)
  • Eternelle Alhambra
    Eternelle Alhambra. (en ligne) (n°CE07w)
    • ).
    • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
    • en cours de programmation.

    Au cœur de la naissance de l’histoire de l’art, de la littérature, de la musique, l’Alhambra est aujourd’hui un bâtiment créé et recréé à travers les siècles, dont les échos se répercutent à travers toute la culture européenne. L’Alhambra est un monument emblématique de la culture andalouse. Les recherches récentes qui lui ont été consacrées permettent désormais de mieux connaître son développement architectural, ainsi que les symboliques qui y sont mises en œuvre. Elles l’inscrivent aussi dans une culture médiévale ibérique et mettent en exergue ses liens étroits tant avec les principautés castillanes et aragonaises qu’avec le Maghreb. Objets mobiliers et décor architectural illustrent l’excellence des techniques employées et l’inventivité avec laquelle elles sont mises en œuvre. L’attrait de ce complexe palatial dépasse le seul cadre de son prime emploi et se lit aussi à travers son histoire postérieure à la reconquête catholique, son historiographie et sa réception. Peu de monuments eurent un tel impact sur notre imaginaire collectif.

    • Gwenaëlle Fellinger
      conservatrice en chef du patrimoine, département des arts de l'islam, musée du Louvre
  • Watteau, un peintre à la mode
    Watteau, un peintre à la mode (en ligne) (n°CE08w)
    • lundi (1 séance : 01h46 - 02h00).
    • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
    • lundi 14 juillet 2025.

    La carrière d’Antoine Watteau, entre la fin du règne de Louis XIV et pendant la Régence, a été célébrée principalement pour ses fêtes galantes. Pourtant, ces scènes représentant des contemporains richement vêtus, installés dans des paysages bucoliques préexistent largement à cette période. Une nouvelle exploration de la vie et de la carrière de Watteau le fait apparaître comme rénovateur plutôt qu’inventeur du genre. En abandonnant les lectures romantiques entretenues par la critique depuis le XVIIIe siècle et en privilégiant une perspective aussi objective que possible, reposant sur les archives et les analyses matérielles des œuvres, il est possible d’appréhender un autre Watteau. Ainsi, en mettant à jour les connaissances liées aux biographies anciennes, et en étudiant les réseaux de sociabilité du peintre et son rapport au phénomène de mode de manière globale (entendu aux sens de tendances vestimentaires et de manifestations de l’évolution du goût), une stratégie commerciale bien rodée se dévoile. L’efficacité de cette dernière explique la postérité de Watteau après sa mort. Ses nombreux suiveurs, qui reprennent ses sujets et sa manière de travailler, assurent la pérennité des images et de la stratégie créées par ce peintre à la mode et son succès jusqu’à nos jours.

    Juillet
    Lundi 14 juillet 2025, 01h46
    Watteau. (en ligne)
    Guillaume Faroult,
    conservateur en chef du patrimoine, département des peintures, musée du Louvre.
    Axel Moulinier,
    docteur en histoire de l'art, chercheur affilié, Institut de recherches historiques du Septentrion: IRHIS - UMR 8529.
    • Guillaume Faroult
      conservateur en chef du patrimoine, département des peintures, musée du Louvre
    • Axel Moulinier
      docteur en histoire de l'art, chercheur affilié, Institut de recherches historiques du Septentrion: IRHIS - UMR 8529
  • Tromper l'oeil
    Tromper l'oeil. (en ligne) (n°CE09w)
    • lundi (1 séance : 02h01 - 02h15).
    • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
    • lundi 14 juillet 2025.

    De l’Antiquité à l’âge baroque, c’est principalement à travers des décors à fresque et de grands décors monumentaux que se retrace l’histoire des techniques illusionnistes. S’agissant de la peinture de chevalet, le terme « trompe-l'œil », attribué au peintre Louis Léopold Boilly, apparaît pour la première fois dans un livret de Salon de 1800. Il est officiellement adopté par l'Académie française en 1835. La puissance évocatrice du terme l’impose aujourd’hui pour désigner rétrospectivement toutes les formes de procédés illusionnistes gommant, ce faisant, les visées propres à chaque époque. Aborder les enjeux des techniques de représentations illusionniste implique non seulement de s’intéresser aux moyens et aux techniques picturales à une période donnée mais également de s’interroger sur les fonctions de la représentation.

    Juillet
    Lundi 14 juillet 2025, 02h01
    Tromper l'oeil. (en ligne).
    Sébastien Bontemps,
    docteur en histoire de l’art, chargé de valorisation du patrimoine des Invalides, musée de l'Armée - Hôtel des Invalides, Paris.
    Sylvie Carlier,
    conservtrice en chef du patrimoine, directrice des collections, musée Marmottan Monet.
    Aurélie Gavoille,
    attachée de conservation, musée Marmottan Monet.
    Matteo Gianeselli,
    conservateur du patrimoine, chargé des collections de peintures, tapisseries, arts graphiques, textiles et cuirs, musée de la Renaissance, Ecouen.
    Stéphanie Wyler,
    docteur en histoire et archéologie des mondes anciens, maître de conférences, histoire et anthropologie des mondes romains, Directrice du département, Université Paris Diderot Paris 7, AnHiMA/UMR 8210 .
    • Sébastien Bontemps
      docteur en histoire de l’art, chargé de valorisation du patrimoine des Invalides, musée de l'Armée - Hôtel des Invalides, Paris
    • Sylvie Carlier
      conservtrice en chef du patrimoine, directrice des collections, musée Marmottan Monet
    • Aurélie Gavoille
      attachée de conservation, musée Marmottan Monet
    • Matteo Gianeselli
      conservateur du patrimoine, chargé des collections de peintures, tapisseries, arts graphiques, textiles et cuirs, musée de la Renaissance, Ecouen
    • Stéphanie Wyler
      docteur en histoire et archéologie des mondes anciens, maître de conférences, histoire et anthropologie des mondes romains, Directrice du département, Université Paris Diderot Paris 7, AnHiMA/UMR 8210
  • De Versailles aux arts forains
    De Versailles aux arts forains : que la fête soit ! (en ligne) (n°CE10w)
    • lundi (1 séance : 02h16 - 02h30).
    • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
    • lundi 14 juillet 2025.

    Les fêtes, moments éphémères et par nature immatériels, s’appréhendent souvent à travers des récits. A ces traces littéraires s’ajoutent, pour les périodes moderne et contemporaine, un répertoire d’objets et d’images d’une exceptionnelle richesse. Grand carrousel et courses de traineaux, opéras et théâtres en plein air, illuminations et feux d’artifice… Donnés pour célébrer un évènement dynastique ou politique, les fêtes et divertissements organisés sous l’Ancien Régime créent un univers de féérie. Associer la fête aux années 1790 semblera, au contraire, pour beaucoup relever de l’oxymore. Le trait est forcé. Bien évidemment la Révolution n’est pas une fête, mais celles-ci sont omniprésentes et engagent des artistes dans leurs réalisations, le plus souvent grandioses. A l’époque contemporaine, la fête populaire s’affranchit des contraintes de célébration du pouvoir politique et attire non plus seulement des artistes à la recherche d’espaces d’expérimentation mais des anonymes. Comment dès lors, pour les musées de sociétés, identifier, hiérarchiser et conserver les traces matérielles des réalisations populaires quand les événements qui leur ont donné forme ont surgi de façon improvisée ?

    Juillet
    Lundi 14 juillet 2025, 02h16
    De Versailles aux arts forains : que la fête soit ! (en ligne)
    Alain Chevalier,
    conservateur en chef du patrimoine, directeur honoraire, Musée de la Révolution française, Domaine de Vizille.
    Hélène Delalex,
    conservatrice du patrimoine, mobilier et objets d'art, Etablissement public du château, du musée et du domaine national de Versailles.
    Eloïse Galliard,
    responsable des collections, musée des Arts Forains.
    • Alain Chevalier
      conservateur en chef du patrimoine, directeur honoraire, Musée de la Révolution française, Domaine de Vizille
    • Hélène Delalex
      conservatrice du patrimoine, mobilier et objets d'art, Etablissement public du château, du musée et du domaine national de Versailles
    • Eloïse Galliard
      responsable des collections, musée des Arts Forains
    De Versailles aux arts forains
    De Versailles aux arts forains : que la fête soit ! (en ligne)
  • Une histoire du pays de Cocagne
    Histoire et iconographie du pays de Cocagne du XIIIe siècle à nos jours (en ligne) (n°CE11w)
    • lundi (1 séance : 02h31 - 02h45).
    • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
    • lundi 14 juillet 2025.

    Au pays de Cocagne règnent la paix et la liberté, l’abondance et la diversité alimentaires, la jeunesse éternelle et la fête, autant de conditions à un bonheur strictement terrestre. Utopie matérialiste, le pays de Cocagne campe un monde où la culpabilité face aux plaisirs charnels n’existe pas. Quant aux notions de travail et d’échange marchand, elles y sont rejetées, la nature produisant d’elle-même les biens manufacturés et les mets prêts à être consommés. Bien nourris, bien vêtus et sans souci, les hommes et les femmes y sont conduits par leur seul plaisir. Connue par un texte français du milieu du XIIIe siècle, le Fabliau de Coquaigne, cette fable circule également, à partir des deux derniers siècles du Moyen Âge, en Italie, dans les mondes germanique et anglo-irlandais, dans les Flandres et, à partir du XVIe siècle, en Espagne. Réactualisée par l’imaginaire des récits de la conquête des Amériques, elle connaît son apogée au XVIe siècle, puis s’essouffle dans la seconde moitié du XVIIe siècle avant d’être largement circonscrite à la fête (le mât de Cocagne) et à la littérature pour la jeunesse. Au-delà d’un voyage par mots et par mets, à travers récits merveilleux, cartes fictives et iconographies suggestives comment interpréter la naissance, la longévité et les variations de cette utopie européenne ?

    Juillet
    Lundi 14 juillet 2025, 02h31
    Une histoire du pays de Cocagne du XIIIe siècle à nos jours. (en ligne)
    Florent Quellier,
    professeur d'histoire moderne , Université d'Angers, titulaire de la chaire CNRS "Histoire de l'alimentation des mondes modernes".
    • Florent Quellier
      professeur d'histoire moderne , Université d'Angers, titulaire de la chaire CNRS "Histoire de l'alimentation des mondes modernes"
    Une histoire du pays de Cocagne
    Histoire et iconographie du pays de Cocagne du XIIIe siècle à nos jours (en ligne)
  • Léonard de Vinci et la science de la peinture
    "Le mouvement et le souffle", Léonard de Vinci et la science de la peinture. (en ligne) (n°CE12w)
    • lundi (1 séance : 02h46 - 03h00).
    • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
    • lundi 14 juillet 2025.

    Dès 1550, Léonard de Vinci apparait sous la plume de Giorgio Vasari, son premier biographe, comme l'initiateur de "la maniera moderna" en peinture. Qualifié « d’artiste au souffle divin », il parvient à donner "la vie" aux formes. Léonard, artiste libre par excellence, courtisé par les mécènes les plus célèbres de son temps - de Ludovic Le More à François Ier – impose une nouvelle représentation sociale de l’artiste de génie. Il façonne sa vie à l’égal du Prince au point que la postérité retient la très belle image, pourtant forgée par Vasari, de son décès dans les bras du roi de France lui-même.

    Du portrait au tableau de dévotion privée, du retable à la peinture d’histoire, Léonard de Vinci aborde tous les genres. La vingtaine de chefs d'œuvre picturaux qui nous sont parvenus révèlent un processus créatif méticuleux et longuement réfléchi, nourri par l’étude de la nature et les recherches scientifiques. Comment un corpus d’œuvres si restreint peut-il receler tant d’innovations techniques et stylistiques et bouleverser à tel point l’histoire de l’art ?

    Juillet
    Lundi 14 juillet 2025, 02h46
    "Le mouvement et le souffle", Léonard de Vinci et la science de la peinture. (en ligne)
    Stefania Tullio Cataldo-Morand,
    Chercheuse, université de Liège, membre associée CNRS (Item).
    • Stefania Tullio Cataldo-Morand
      Chercheuse, université de Liège, membre associée CNRS (Item)
    Léonard de Vinci et la science de la peinture
    "Le mouvement et le souffle", Léonard de Vinci et la science de la peinture. (en ligne)
  • Expanding the Louvre
    Expanding the Louvre, a history of museum growth. (en ligne) (n°CE13w)
    • lundi (1 séance : 03h00 - 04h00).
    • École du Louvre, Paris : Campus numérique.
    • lundi 14 juillet 2025.
    Juillet
    Lundi 14 juillet 2025, 03h00
    Expanding the Louvre, a history of museum growth.
    Barthélémy Glama Etchegoyen,
    directeur, musée Helleu, Bayonne.
    • Barthélémy Glama Etchegoyen
      directeur, musée Helleu, Bayonne
    Expanding the Louvre
    Expanding the Louvre, a history of museum growth. (en ligne)